ton corps brisé, errant
à l’intérieur du tambour,
et tes simples, tes phéromones
ordinaire nuagé
qui recouvre l’exemple du linceul éternel…
décrit par la nuit, je remonte des enfers,
à petit pas
mes os réinventés exsudent
l’éclipse abattue en ton œil, ô Soleil ;
je récupère ma mort
et l’éclat vert du sable mal entendu
oraison, daigne éclore le feu splendide battant
d’amertume l’oiseau volant dans ce vieux rêve...
Mohammed Khaïr-Eddine
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire