dimanche 1 juillet 1984

Ce vieux rêve...



ton corps brisé, errant

à l’intérieur du tambour,

et tes simples, tes phéromones

ordinaire nuagé

qui recouvre l’exemple du linceul éternel…

décrit par la nuit, je remonte des enfers,

à petit pas

mes os réinventés exsudent

l’éclipse abattue en ton œil, ô Soleil ;

je récupère ma mort

et l’éclat vert du sable mal entendu

oraison, daigne éclore le feu splendide battant

d’amertume l’oiseau volant dans ce vieux rêve...



Mohammed Khaïr-Eddine


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